Marabout a écrit:
binioucoz a écrit:
Ska a écrit:
Pourquoi Jonas avait ce maillot ?
Il l'a dit, sa femme a oublié de laver l'autre . Très bonne réponse en direct, j'adore.
Trapp était en vert, l'arbitre en jaune et celui-ci a jugé le maillot bleu trop proche de celui des Parisiens. D'où ce maillot rouge du PSG avec du scotch sur les sponsors.
Ouais, je me suis dit qu'il devait y avoir une histoire du genre. Par contre, ils pouvaient pas lui en filer un à sa taille?
Pour le match, je suis globalement d'accord avec DaleCavese. J'ai été surpris de la physionomie du match. Je ne m'attendais pas à un pressing quasi inexistant, le match a été très correct et les guingampais, souvent taxés de parfois trop d'agressivité, ne se sont pas approchés des limites raisonnables dans ce domaine. Ça a donné un match au rythme surprenant avec une demie-heure où l'on prend l'eau, puis l'impression de mettre (un peu) le pied sur le ballon et de pouvoir revenir sans vraiment se créer d'occasion, à part cette frappe complètement foiré de Sankharé, pourtant sur son bon pied, et cette lucarne parfaite de Salibur.
La deuxième période m'aura semblé encore plus étrange. Je me dis que ce Paris là en fait devrait laisser le ballon à l'adversaire pour un maximum d'efficacité. J'ai vu les 2 et 3e buts parisiens venir. Les guingampais ont commencé à se détendre, à être moins attentifs sur les relances, sans doute ayant l'impression que les parisiens levaient le pied, et sur des erreurs de la défense centrale sont parvenus à jaillir et à gonfler le score finalement logiquement. Je pense que l'écart de 3 buts est dû au fait que les joueurs ont pu avoir l'impression erronée de n'être pas si loin que ça de leurs adversaires.
L'analyse de Gourvennec me semble à parfaite. Sa réponse à la question "le score est-il sévère": "oui et non", m'a paru parfaitement lucide.
Au final, comme l'a dit cisco, l'absence de Kerbrat (pourquoi au fait?) me semble décisive dans le résultat. Ce n'est pas le meilleur défenseur de L1, mais j'ai la naïveté de croire qu'avec lui, on ne prend jamais le premier but, et que lui n'aurait jamais été coupable du relâchement que j'ai perçu en fin de match.
Sankharé et Mathis ont essayé de ressortir les ballons proprement, mais offensivement, nous joueurs étaient trop faibles pour pouvoir faire des différences. On ne peut leur jeter la pierre, leur rôle était vraiment délicat.
Individuellement, l'axe de la défense centrale et Diallo, et donc les joueurs offensifs ne m'ont pas plu. Derrière, Jacobsen m'a encore impressionné. Mais je ne dois pas être objectif.