Une p'tite interview du gardien danois.
Vous voyez bien qu'il parle un français impeccab'!
LÖSSL, "LA VIE EST BELLE" 
Jonas Lössl semble avoir franchi un palier, cette saison, dans les buts d'En Avant.Heureux, le portier d'En Avant Jonas Lössl, auteur d'une saison sans accroc, sait que son équipe a les clés pour se maintenir. Un maintien qui passera notamment par Toulouse, où il retrouvera son compatriote danois Martin Braithwaite.
Jonas Lössl, comment jugez-vous vos performances cette saison ? D'abord, je suis vraiment heureux d'être là. J'évolue dans le championnat français, ce qui était mon premier objectif personnel. Ma progression est satisfaisante, je passe des paliers. Je me sens beaucoup mieux depuis que je suis ici. Jusque-là, c'est ma meilleure saison.
Parle-t-on de plus en plus de vous au Danemark ? Non, pas tant que ça. On me parle surtout de ma saison passée. Je continue d'être en équipe nationale et ce qui m'importe est de poursuivre ma progression.
Êtes-vous surpris que ce championnat soit aussi serré ? Oui ! L'an passé, le championnat semblait plus normal : les bonnes équipes étaient performantes. Ce n'est pas vraiment naturel de voir, aujourd'hui, la Ligue 1 aussi serrée. Tous les gros clubs comme Paris, Lyon ou Marseille devraient être dans le Top 5. Mais bien sûr, cette situation nous avantage.
Êtes-vous inquiet quant au maintien d'En Avant ? Non ! On ne peut pas être inquiet. C'est un objectif et nous devons le garder en tête. Mais il faut simplement penser, à chaque fois, au match qui arrive. Et le gagner. Nous avons l'équipe pour nous maintenir, nous sommes meilleurs que beaucoup d'autres concurrents. Il n'y a donc pas raison d'être inquiet.
Justement, quel regard portez-vous sur votre prochain adversaire, Toulouse ? Je connais Martin Braithwaite, je sais ses qualités et ce dont il est capable. C'est un très bon attaquant. Je regarde aussi ses coéquipiers, comme Ben Yedder. Je me suis préparé à les jouer. Je pense que l'on a une belle opportunité face à cette équipe.
En tant que gardien nº 1 d'En Avant, comment vivez-vous la pression au quotidien et durant les rencontres ? J'adore la pression ! D'ailleurs, si ce n'était pas le cas, je ne pourrais pas être gardien professionnel. C'est de la bonne pression et il faut savoir s'en servir. C'est super de représenter un club et une équipe. Ici, nous sommes 25 joueurs. Quand on entre sur le terrain, on joue pour nos fans, nos coachs. C'est le football. Vraiment, j'aime ce genre de pression. Et puis la vie est belle. La vie est fantastique !
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