En effet,beaucoup de nostalgie et de tristesse la disparition de ces 2 supers joueurs qu'étaient Beretta et Dalger.
Deux internationaux qui auront marqué l'histoire de cette belle équipe de France.
Merci pour ces vidéos,Numero23

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Le forum non officiel d'EAG se crispe: l'administrateur principal poste à tout va chaque nuit pour maintenir une certaine activité. Il semble prôner la bienveillance mais bannit très rapidement toute personne "opposante". Ce paternalisme autoritaire va rendre ce forum totalement insipide...et conforter ceux qui ont fait le choix de le quitter (j'en connais) . Ici, nous ne sommes pas nombreux mais au moins on peut exprimer des points de vue divergents sans se faire censurer!

C'est exact,Numero23,qu'on ne risque pas d'être censuré puisqu'il n'y a pas de responsable (modérateur,ni admin.),ce qui est lamentable et indigne d 'un forum pour un club professionnel.
Ceci étant, nous ne sommes pas nombreux,et chacun donne son point de vue en toute liberté.

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Nous ne sommes effectivement pas nombreux mais l’ambiance est bonne et chacun s’exprime librement. De plus certains ont le privilège de se connaître et d’entretenir des liens amicaux
Personnellement n’ai jamais regretté d’avoir quitté le forum non officiel.

Trêve internationale:

https://www.letelegramme.fr/sports/foot ... 420384.php

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Il nous arrive de "râler" sur les choix de la direction d'EAG mais ces désaccords ne doivent pas occulter le fait que, sur le fond, l'ensemble des supporters est solidaire de cette direction quant à l'indépendance du club. J'irais même un peu plus loin: il est préférable (selon moi) d'être un club indépendant de L2 que d'être un club de L1 appartenant à un groupe détenant d'autres clubs: tout plutôt que la multipropriété!
Extrait (issu de Time To So Sport du 09 octobre)

Attention danger

Très bon article dans Les Echos cette semaine sur la nouvelle tendance du foot mondial : la multipropriété. Avec une vraie alerte dedans : c’est "potentiellement plus dangereux que la Super Ligue". Explications.

Le constat : la multipropriété est en train de s’imposer partout. Aujourd’hui, 180 clubs dans le monde sont concernés et en 10 ans, ce nombre a été "multiplié par 5". La France n’y échappe avec 9 équipes touchées (du PSG à l’OL en passant par Toulouse ou Nice) soit la moitié de notre Ligue 1 et 10% du total clubs européens impliqués.

L’objectif des multipropriétés : faire baisser les coûts et réaliser des économies d’échelle mais, surtout, convertir des clubs mineurs en de véritables incubateurs à joueurs pour les top clubs. Une manifestation de plus de la "transformation des footballeurs en actifs financiers" (Jerôme Latta, Cahiers du foot) avec un risque bien identifié : que le football "devienne une compétition de holdings" (JB Guegan, spécialiste de la géopolitique du sport).

Car avec la multipropriété, on change la nature des relations entre les différentes équipes : on passe d’un fonctionnement horizontal (les clubs frères sont égaux) à une logique pyramidale marquée par "des équipes d'échelons et de pays différents, vus comme autant de paliers de progression jusqu'au club le plus prestigieux".

Sans même parler d’équité sportive (comment s’assurer de l'honnêteté d’un match entre 2 clubs partenaires ?), c'est bien un désastre qui s'annonce. Pour le marché des transferts d’abord : "sur 114 mouvements intragroupes en 2022, les trois quarts l'ont été par un prêt ou un transfert gratuit". Et pour le modèle économique de nos petits clubs ensuite : ceux-ci ne survivent aujourd’hui que grâce à la vente de leurs meilleurs joueurs aux grosses écuries. Demain, elles seront obligées de les brader ou de les prêter à leur club suzerain.

Et avec une Ligue 1 faible financièrement (1,6Mds de pertes en 5 ans pour nos clubs) donc en recherche constante de nouveau revenus et des talents de formation reconnus mondialement (lors du dernier mondial, 60 joueurs -- un record -- étaient nés en France) c’est donc tout notre championnat qui va bientôt se retrouver vassal des plus gros clubs européens. Finalement, c’était pas si mal la Super Ligue.

Effectivement,Numero23,cet article est très intéressant et montre combien pas mal de "petits clubs" risquent un jour de regretter d'avoir adhéré à (ou dans) une multipropriété.
Je pense que nos dirigeants sont assez intelligents et lucides pour rester le petit club que nous sommes,indépendant.. et que nous ne cèderons pas aux "sirènes du fric".

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Nous ne sommes pas toujours d’accord avec les choix et décisions du club mais que Guingamp reste Guingamp le plus longtemps possible et ne tombe pas entre des mains américaines, chinoises ou autres.

La FIFA toujours plus loin...(extrait So Foot):
Ils ne se cachent même plus

Deux semaines après la manœuvre de la FIFA pour laisser l’Arabie saoudite seule candidate (et donc en faire la future hôte) de la Coupe du Monde 2034 de football, on a appris ce week-end que cette même FIFA a trouvé un nouveau méga sponsor : Aramco ! Heureuse coïncidence, c’est le 1er producteur mondial de pétrole … détenu à 98% par le royaume saoudien.

Pour la FIFA, c’est une très très bonne opération. Selon le Times, le deal devrait lui rapporter près de 100M$/an pendant une décennie faisant d’Aramco son plus gros sponsor ever. Pour l’Arabie saoudite en revanche, c’est peanuts : Aramco est la 3e plus grosse valorisation boursière au monde (derrière Apple et Microsoft) et rien que sur l’année 2022, le groupe a dégagé 161Mds$ de bénéfices (1,5x plus qu’Apple).

Mais au-delà du pur cynisme financier auquel on commence à s’habituer, l’indécence atteint cette fois des sommets sur le plan écologique. Depuis fin 2021, la FIFA s’est en effet dotée d’une "stratégie pour le climat". Parmi les priorités définies : "sensibiliser la communauté du football au changement climatique" ou encore "investir dans l’environnement".

Visiblement, Gianni Infantino (président de la FIFA) n’a pas lu le mémo puisque Aramco est aujourd’hui l'entreprise la plus émettrice de CO2 au monde. Selon, le Climate Accountability Institute, le géant saoudien a émis à lui tout seul 4% des émissions mondiales de CO2 depuis 1965 ! A 10 jours de l’ouverture de la COP 28 où la sortie des énergies fossiles sera inévitablement posée, la FIFA a donc choisi son camp. Celui de l’argent

Merci numero23 pour cet excellent article. Peut-on dire que l’on commence à s’habituer au cynisme financier ? On le subit plutôt qu’autre chose et ce n’est pas la cop 28 qui va nous permettre de croire que les choses vont s’arranger. Là encore le cynisme est roi. A commencer par le président de cette fameuse cop qui n’est rien d’autre que le président d’un grand groupe pétrolier saoudien de qui se fout-on ? Toujours des mêmes.